The Central African Republic has a dire need for transitional justice, as expressed in the outcomes of high-level meetings, such as the Bangui Forum. In 2020, a law was passed establishing a Truth, Justice, Reparations and Reconciliation Commission. Commissioners have been appointed, and the enormous task of establishing how they will fulfil their duties lies ahead. This policy brief considers the Commission’s mandate and makes recommendations for how its work can be most effective, based on lessons from past commissions and the application of the African Union’s Transitional Justice Policy. Among these, a victim centred approach and broad outreach strategy will be paramount, while building on past efforts to document and analyse cycles of violence. / La République Centrafricaine a un besoin urgent de justice transitionnelle, tel qu’exprimé dans les conclusions des réunions de haut niveau, comme le Forum de Bangui. En 2020, une loi a été adoptée établissant une Commission Vérité, Justice, Réparations et Réconciliation. Les commissaires ont été nommés et l’énorme tâche d’établir comment ils vont remplir leurs fonctions se présente. Cette note de synthèse considère le mandat de la Commission et formule des recommandations sur comment son travail peut être le plus efficace que possible, basé sur les leçons de commissions antérieures et l’application de la Politique de Justice Transitionnelle de l’Union Africaine. Parmi celles-ci, une approche centrée sur les victimes et une stratégie d’information globale sont primordiales, tout en s’appuyant sur les efforts passés pour documenter et analyser les cycles de violence.