“In Senegal, only 65% of arable land are operated at the time when the country is facing a true puzzling food problem. Faced with this situation, the reform of the national domain law remains a pathway of hope if the land are not sold to agro-businessmen. The arable land rush is not ready to fade. The core issue that arose, noted by sociologist Cheikh Oumar Ba, acting Secretary of the rural agricultural prospective Initiative (Ipar) in Dakar, is that the world has rediscovered agriculture occupies a strategic place in the economy and trade. That is why this land problem will continue to arise because it is essential to the maintenance of the major local and transnational balances./ Au Sénégal, seules 65% des terres arables sont exploitées au moment où le pays est confronté à un vrai casse-tête alimentaire. Face à cette situation, la réforme de la loi sur le domaine national reste une voie d’espoir si les terres ne sont pas vendues aux agro-businessmen d’occasion. La ruée vers les terres arables n’est pas prête de s’estomper. Le problème de fond qui s’est posé, note le sociologue Cheikh Oumar Bâ, Secrétaire intérimaire de l’Initiative prospective agricole rurale (Ipar) à Dakar, c’est que le monde entier a redécouvert que l’agriculture occupe une place stratégique dans l’économie et les échanges. C’est pourquoi cette problématique des terres va continuer à se poser car elle est essentielle au maintien des grands équilibres locaux et transnationaux.”