“Facing institutional constraints, entrepreneurship in Cameroon borrows both from the large businesses as well as the Small and Medium Enterprises (SMEs). Survival strategies, expansion and development are mainly based on the use of social capital. The latter being defined as any aspect of a social structure that creates value and facilitates the actions of individuals in this social structure. It includes resources acquired through relationships, associations, networks, such as trust, the logic of reciprocity, coordination and cooperation to benefit mutually. This policy brief analyses social capital as an important input to the entrepreneurial process in Cameroon. First its contribution through the creation of
business, then by its contribution to the performance of economic and social enterprises, governance, their survival, access to credit, and finally the influence
on technical efficiency and the welfare of agricultural producers. It therefore recommends exploiting the potential
offered by the social capital in the development of policy for government to promote SMEs on the one hand, and in the design and implementation strategies of other
entrepreneurial firms. / Face aux contraintes institutionnelles, l’entrepreneuriat camerounais emprunte, aussi bien au niveau de la grande entreprise que de la Petite et Moyenne Entreprise(PME), des stratégies de survie, d’expansion et de développement qui reposent essentiellement sur l’usage du capital social, défini comme tout aspect de structure sociale qui crée del a valeur et facilite les actions des individus composant cette structure sociale. Il comprend des ressources acquises à travers les relations, les associations, les réseaux, telles que la confiance, la logique de réciprocité, de coordination et de coopération aux avantages mutuels. Ce policy brief analyse justement le capital social comme un input important du processus entrepreneurial au Cameroun, d’abord à travers sa contribution dans la création d’entreprises, ensuite par son apport dans la performance économique et sociale des entreprises, leur gouvernance, leur survie, leur accès au crédit, et enfin par son influence sur l’efficacité technique et le bien-être des producteurs agricoles. Il recommande de ce fait l’exploitation du potentiel offert par le capital social dans l’élaboration de la politique gouvernementale de promotion des PME d’une part, et dans la conception et la mise en oeuvre des stratégies entrepreneuriales des entreprises d’autre part.”