“The project proves to be innovative and could inspire the reflections on micro finance and the ‘vulnerable groups’. Its overall objective is the analysis of the impact of services of MFIs on SMEs and the empowerment of women. Several specific objectives have been formulated and analyses were guided by two assumptions: the MFIs are the main source of financing for MFIs on the one hand, and they constitute a lever for the empowerment of women. The study uses a combination of several statistical approaches in its methodological aspect. The study focused on three targets: IMF side offer, SMEs and beneficiaries of the MCSC on the demand side. The results of the study are quite interesting. The study showed also a climate of mistrust between the tax services and SMEs, which justifies the high non-response rate. The study highlights also the considerable difficulties of financing the Burundian SMEs among other: interest rates high, weaknesses of the guarantees, low diversification of funding sources, delays in processing high records, with more than 90% of dissatisfaction on these dimensions. At the level of the MFIs, it should be noted an information system that deserves to be improved./ Le projet se révèle novateur et pourrait inspirer les réflexions sur la micro finance et les groupes vulnérables . Son objectif global est l’analyse de l’impact des services des IMFs sur les PME et l’autonomisation des femmes. Plusieurs objectifs spécifiques ont été formulées et les analyses ont été guidés par deux hypothèses : Les IMFs constituent la principale source de financement des IMFs d’une part, et ces derniers constituent un levier de l’autonomisation de la femme. L’étude utilise dans son aspect méthodologique une combinaison de plusieurs approches statistiques. L’étude a porté sur trois cibles : IMF du côté de l’offre, PME et les Bénéficiaires de la CECM du côté de la demande. Les résultats de l’étude sont assez intéressants. L’étude fait ressortir également un climat de méfiance entre les services fiscaux et les PME, ce qui justifie le taux de non réponse élevée. L’étude met en évidence également des difficultés importantes du financement de la PME burundaise entre autre : (taux d’intérêt élevée, faiblesses des garanties, faible diversification des sources de financement, délais de traitement des dossiers élevés) avec plus de 90% d’insatisfaction sur ces dimensions. Au niveau des IMFs, on notera un système d’information qui mérite d’être amélioré.”